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Intelligence artificielle

Devenir Développeur blockchain : études, missions et salaire

Julien Fournari
Par 
Julien Fournari
SEO & Growth Manager
Dernière mise à jour le 
12/11/2025
Devenir Développeur blockchain : études, missions et salaire

Qu’est-ce qu’un développeur blockchain ?

Le Développeur blockchain, aussi appelé Développeur Web3, Ingénieur blockchain ou Blockchain developer, c’est un peu le bâtisseur du Web décentralisé. Son rôle ? Concevoir, coder et sécuriser des applications reposant sur la blockchain, une technologie où chaque donnée est inscrite dans un registre infalsifiable et partagé entre tous les utilisateurs.

Il agit comme un architecte technique des systèmes décentralisés, qu’on retrouve dans des projets de cryptomonnaies, de NFTs, de finance décentralisée (DeFi), de traçabilité des données, ou encore dans des DApps et smart contracts.

Et pour mener à bien ses missions, le Développeur blockchain travaille au cœur d’un écosystème mêlant tech, cybersécurité et innovation, en collaboration avec :

  • Des Architectes blockchain, qui conçoivent les infrastructures qu’il développe.  
  • Les métiers de la cybersécurité, garants de la fiabilité de ces systèmes.  
  • Des Data Scientists et des Data Analysts, pour optimiser les performances des systèmes et prévenir les fraudes.  
  • Des juristes et des chefs de projet, qui l’aident à traduire les enjeux métier en solutions concrètes.

Profil encore rare et très recherché, le Développeur blockchain joue donc un rôle stratégique dans l’émergence du Web3 et de l’Internet de confiance.

Qu’est-ce que la blockchain ?

La blockchain (ou chaîne de blocs en français) est une technologie de stockage et de transmission d’informations qui a été popularisée avec le Bitcoin à partir de 2009, et qui est au cœur du Web3 (le web décentralisé). Elle s’est depuis imposée bien au-delà des cryptomonnaies grâce à ses nombreux avantages :

  • Absence d’intermédiaires : les échanges de valeur se font directement entre utilisateurs, sans qu’ils n’aient à passer par une banque, un notaire ou une plateforme centralisée.  
  • Décentralisation et sécurité : les informations ne sont pas conservées sur un serveur unique, mais répliquées sur des milliers d’ordinateurs (les nœuds), ce qui rend la blockchain très difficile à pirater ou à falsifier.  
  • Immuabilité : une fois un bloc validé et ajouté à la chaîne, les données qu’il contient ne peuvent plus être modifiées, sauf si tout le réseau l’autorise.  
  • Transparence : dans le cas des blockchains publiques comme celle du Bitcoin ou de l’Ethereum, toutes les transactions sont consultables publiquement.

Concrètement, la blockchain est comparable à un livre de comptes mondial et inviolable disponible publiquement, et mis à jour en temps réel. Autant d’arguments qui ont séduit les professionnels de domaines très variés (cryptomonnaies, mais aussi santé, pharmacie, assurance, énergie, vote en ligne…). Et ce n’est qu’un début, puisque la blockchain, portée par l’innovation, continue de s’étendre à de nouveaux usages.

Dans quels types d’industries utilise-t-on la blockchain ?

Si la blockchain s’est d’abord fait connaître avec le Bitcoin et les cryptomonnaies, elle est aujourd’hui utilisée dans un nombre croissant de secteurs :

  • Cryptomonnaies et finance décentralisée (DeFi), où elle sert à effectuer des échanges de tokens, des prêts sans intermédiaire, ou encore à exécuter des smart contracts pour verser automatiquement des intérêts ou des récompenses.  
  • Jeux vidéo et NFT, où elle est utilisée pour créer puis échanger des objets numériques uniques.  
  • Supply chain et logistique, car elle facilite la traçabilité des produits.  
  • Santé, où elle est utilisée pour protéger les dossiers médicaux et sécuriser leur partage.  
  • Banque et assurance, où elle permet d’automatiser les paiements, de détecter les fraudes ou de gérer des contrats.  
  • Énergie, où elle est utilisée dans la gestion de réseaux intelligents.  
  • Services publics, pour sécuriser les votes électroniques, la génération de certificats officiels et des certificats d’identité numérique.  
  • Paiements internationaux, où la blockchain permet des transactions plus rapides, moins coûteuses, et sans intermédiaires.  
  • Tokénisation d’actifs, qui permet de fractionner la propriété de biens physiques ou numériques (immobilier, œuvres d’art, actions…) en tokens échangeables sur la blockchain, rendant ces investissements plus accessibles et liquides.

En bref, la blockchain a une place à prendre partout où la confiance, la traçabilité et la sécurité sont essentielles.

Quel est le lien entre développeur blockchain et l’IA ?

À première vue, la blockchain et l’intelligence artificielle semblent appartenir à des mondes très différents. Et pourtant, les deux peuvent être très complémentaires, à un tel point que le métier de Blockchain developer pourrait presque être considéré comme un métier de l’IA à part entière. Par exemple :

  • L’IA aide à analyser les données on-chain et à repérer les anomalies ou fraudes.  
  • La blockchain assure la traçabilité et l’intégrité des données utilisées par les modèles d’IA.  
  • Ensemble, elles permettent la création d’agents IA autonomes capables d’interagir et de s’autoréguler dans des écosystèmes décentralisés.  
  • Les oracles intelligents, nourris par l’IA, alimentent les smart contracts en données fiables issues du monde réel.

En somme, à l’heure de l’explosion de l’IA, le Développeur blockchain ne peut plus se contenter de coder des chaînes de blocs, il doit pouvoir concevoir des systèmes décentralisés intelligents, où l’IA est le cerveau de la machine, et la blockchain, sa mémoire inviolable.

Quel est l’état du marché de l’emploi pour les Développeurs blockchain en France ?

Combien y a-t-il d’offres d’emploi de « Blockchain developer » en France ?

En octobre 2025, environ 80 offres pour des Développeurs blockchain étaient proposées sur les plateformes comme Indeed, Welcom to the Jungle, ou encore le site de l’APER. Un volume encore modeste, qui reflète la jeunesse de ce métier et un marché de la blockchain qui en est encore à ses prémices en France.

À titre de comparaison, aux États-Unis où ce marché est bien plus mature, ce sont environ 1 000 offres d’emploi qui sont actuellement proposées. Cela laisse penser qu’en France, la demande pour ces spécialistes pourrait être croissante dans les prochaines années.

Le marché de la blockchain en France se développe-t-il ?

Si la blockchain reste encore un terrain d’exploration pour de nombreuses entreprises françaises, elle attire de plus en plus l’attention. Et le développement de cet attrait s’accompagne d’un problème : selon une étude de la KPMG parue en 2022, près de 83 % des organisations qui lancent un projet blockchain peinent à recruter des professionnels compétents.

Un chiffre révélateur de deux choses :

  • Le Web3 est en plein essor en France et en Europe, en témoigne la création de l’European Blockchain Services Infrastructure (EBSI) par la Commission européenne, un projet visant à créer une infrastructure blockchain européenne sécurisée pour les services publics.  
  • Les métiers de la blockchain sont décidément des métiers d’avenir, à un tel point que toujours selon la KPMG, d’ici 2030, les projets blockchain pourraient être à l’origine de près de 100 000 emplois directs.

Quelles sont les grandes entreprises qui recrutent des Développeurs blockchain en France ?

Si le marché de la blockchain est encore en plein développement en France, de nombreuses entreprises recherchent déjà des Développeurs blockchain. Parmi elles, vous trouverez certains noms de renom :

  • Ledger, une licorne française et l’un des fleurons de l’écosystème Web3 en France, qui est spécialisée dans les coffres-forts numériques et la crypto‑custody.  
  • Sorare, une startup Web3 qui a conçu des jeux vidéo centrés sur le sport et basé sur des NFTs.  
  • Ubisoft, qui a sorti plusieurs projets centrés autour des technologies blockchain, dont Ubisoft Quartz et Champions Tactics Grimoria Chronicles.  
  • Nomadic Labs, l’un des plus grands centres de recherche de l’écosystème Tezos (une plateforme blockchain), et qui est basé à Paris.  
  • Des grandes banques et des compagnies d’assurances, comme BNP Paribas ou AXA, qui cherchent des experts en blockchain pour leurs projets en lien avec l’automatisation, la traçabilité et la sécurité.

Quelles sont les missions d’un développeur blockchain ?

Le Développeur blockchain est amené à travailler sur un large éventail de missions techniques, toutes centrées autour de la création d’applications décentralisées fiables, sécurisées et performantes :

  • Conception et développement de DApps : cœur de son métier, il crée des applications qui fonctionnent sans serveur central grâce à la blockchain. Ces DApps permettent notamment d’écrire et d’exécuter des smart contracts.  
  • Intégration côté front-end : il permet aux utilisateurs de se connecter à leurs wallets (Metamask, Trust wallet…), d’envoyer des tokens ou d’interagir avec les smart contracts via une interface fluide.  
  • Développement du back-end Web3 : il gère les événements émis par la blockchain, crée des APIs pour récupérer des données on-chain, et met en place des systèmes d’indexation pour faciliter la recherche d’informations dans les blocs ou les transactions.  
  • Intégration des protocoles blockchain : selon le projet, il peut travailler avec différents écosystèmes techniques (Ethereum, Hyperledger, Tezos…), et doit comprendre leurs spécificités.  
  • Tests, audits, maintenance et documentation : dans un environnement où une erreur peut coûter très cher, il teste rigoureusement les fonctionnalités, audite régulièrement la sécurité des smart contracts, et maintient une documentation claire pour les autres développeurs.  
  • Veille technologique et optimisation : le Web3 évolue vite. Le développeur blockchain se tient donc informé des nouvelles versions de protocoles, des meilleures pratiques de développement, et des nouvelles techniques d’optimisation des performances et de réduction des frais de gas.

Quelles sont les compétences qu’un Blockchain developer doit absolument maîtriser ?

Langages de programmation

Pour mener à bien ses projets, le Développeur blockchain doit maîtriser plusieurs langages de programmation, chacun adapté à un usage spécifique :

  • Solidity, indispensable pour coder des smart contracts sur les blockchains compatibles avec l’ EVM (comme Ethereum ou Polygon).  
  • JavaScript et TypeScript, utilisés à la fois pour construire les interfaces Web3 (avec des frameworks comme React ou Next.js), et gérer la logique côté serveur avec Node.js et les bibliothèques crypto comme ethers.js ou viem.  
  • Rust, un langage puissant utilisé dans des blockchains à haute performance comme Solana, Near, ou encore Aptos.  
  • Python et Go, souvent utilisés pour automatiser des tâches, développer des APIs, ou créer des scripts d’analyse.

En parallèle, des bases solides en cryptographie sont essentielles, et un bon Blockchain developer doit également maîtriser le hashing, les signatures numériques, ou encore les standards de tokens comme ERC-20 (pour les tokens fongibles) et ERC-721 (pour les NFTs).

Technique et outils

Pour mener à bien ses missions, le Développeur blockchain s’appuie sur un ensemble d’outils spécifiques et de bonnes pratiques techniques :

  • Frameworks de développement : Hardhat, Foundry ou Truffle, qui permettent de coder, tester et déployer des smart contracts en environnement local ou un réseau de test.  
  • Librairies Web3 : Ethers.js, Wagmi et Viem, qui facilitent l’intégration des fonctionnalités blockchain côté front-end (connexion wallet, envoi de transactions…).  
  • Outils d’infrastructure : notamment Infura ou Alchemy, qui permettent d’interagir avec les blockchains sans gérer de nœuds, IPFS, qui sert au stockage décentralisé, et The Graph, qui permet d’indexer les chaînes de données pour pouvoir les consulter plus facilement.  
  • Bonnes pratiques de cybersécurité et d’optimisation : pour garantir la fiabilité du code, le Blockchain developer doit connaître les failles de sécurité classiques (reentrancy, overflow, front-running…) et savoir optimiser la consommation de gas pour limiter les coûts des transactions.

En parallèle, une bonne compréhension des fondements techniques de la blockchain est également indispensable. Cela inclut notamment :

  • Les mécanismes de consensus (preuve de travail, preuve d’enjeu).  
  • Les technologies de registre distribué (DLT).  
  • Les réseaux peer-to-peer.  
  • Les protocoles de synchronisation entre nœuds.

Certifications

Si vous visez le métier de Développeur blockchain, il sera dans votre intérêt de prouver votre expertise en obtenant des certifications reconnues. Pour cela, le plus simple est de suivre certains cours certifiants comme :

  • Le Certified Blockchain Developer du Blockchain Council, où vous apprendrez à concevoir vos propres applications blockchain.  
  • L’IBM Blockchain Foundation for Developers, qui vous introduira aux principes de la blockchain et vous apprendra à développer des DApps orientées entreprises.  
  • Le Blockchain Developer Bootcamp de ConsenSys, qui permet aux développeurs expérimentés d’acquérir les compétences pour devenir des spécialistes en DApps.

Quelles formations pour devenir développeur blockchain ?

Écoles d’ingénieurs et université

Aujourd’hui, peu d’écoles d’ingénieur proposent des cursus axés à 100 % sur la blockchain, mais certaines de ces formations vous permettront de vous spécialiser dans ce domaine d’avenir à la fin de vos études. Par exemple :

  • L’ESGI, l’École Supérieure de Génie Informatique, vous propose une spécialisation en ingénierie de la blockchain accessible à partir de bac+2.  
  • L’ESILV vous propose une majeure en fintech qui vous permettra notamment d’aborder la blockchain, la cryptographie et les cryptomonnaies.

Bon à savoir également, la plupart des universités françaises vous proposent des modules d’initiation à la blockchain dans le cadre de leurs masters en informatique.

Écoles spécialisées en blockchain

Si vous préférez une formation pratique et 100 % orientée blockchain, vous pouvez aussi opter pour une école spécialisée comme Alyra, qui vous propose un bootcamp en développement blockchain, où en quelques mois, vous apprendrez à concevoir, déployer et sécuriser vos propres architectures blockchain.

Cette formation est particulièrement adaptée si vous cherchez un métier bien payé après une formation courte dans lequel vous reconvertir, et que vous avez déjà une petite expérience en développement web ou logiciel.

Écoles en IA et Data

Les métiers de la blockchain sont nombreux, et demandent donc des compétences différentes. Ainsi, en intégrant notre école de l’IA, vous pourrez être formé à tout ce qui fait vivre un projet Web3 du point de vue logiciel et Data. Pour cela, deux solutions s’offrent à vous :

  • Si vous êtes étudiant et que vous cherchez une formation post-bac, rejoignez notre Bachelor Développeur IA, puis spécialisez-vous avec notre Mastère Architecte en IA. Ce cursus en 5 ans vous préparera à concevoir des systèmes distribués et intelligents, indispensables aux applications blockchain modernes.  
  • Si vous cherchez à vous reconvertir dans la blockchain, commencez par notre bootcamp en Data Science (450 heures), puis complétez-le de notre bootcamp en Data Engineering (150 heures), où vous apprendrez à concevoir des outils d’IA puissants qui pourront interagir avec les blockchains.

Certes, nos formations ne vous prépareront pas à développer des protocoles blockchain, mais elles vous donneront les compétences clés pour créer des logiciels utiles, exploitables et intelligents au cœur de l’écosystème Web3.

Quel est le salaire d’un développeur blockchain ?

Quel est le salaire d’un Développeur blockchain en France ?

En France, le salaire d’un Développeur blockchain dépend beaucoup de son expérience. Sans grosse surprises, les profils experts étant difficiles à trouver, les entreprises sont prêtes à leur proposer des rémunérations très intéressantes pour les attirer. Par exemple :

  • Un junior peut espérer toucher entre 37 000 et 49 000 € brut par an.  
  • Un expert touche en moyenne entre 60 000 et 120 000 €, soit entre 1,6 et 2,3 fois plus !

Quel est le TJM moyen d’un freelance Développeur blockchain ?

La profession de développeur blockchain fait définitivement partie des métiers à son compte bien payés. Pour preuve, sur Malt, une plateforme de mise en relation entre freelances et entreprises, le TJM moyen des Blockchain Developers est généralement compris entre 400 et 700 €.

Combien gagne un Blockchain developer aux États-Unis ?

Sans surprise, aux États-Unis où le marché de la blockchain est bien plus développé, les Blockchain developers peuvent espérer toucher un salaire bien plus avantageux. En moyenne, ils gagnent ainsi entre 87 000 et 134 000 $ par an, auxquels s’ajoutent environ 27 000 $ de bonus.

Questions fréquentes à propos du métier de développeur blockchain

Peut-on devenir Développeur blockchain en freelance ?

Oui, et le freelancing est même un mode de travail courant dans l’écosystème blockchain, notamment pour les profils les plus expérimentés. Vous serez alors surtout amené à travailler sur des missions de développement de smart contracts, d’audit de sécurité ou de création d’outils Web3, et exercerez donc un peu le rôle de Consultant blockchain.

Quels sont les métiers de la blockchain ?

Les métiers de la blockchain sont nombreux et couvrent plusieurs domaines d’expertise. Vous trouverez ainsi :

  • Le Développeur blockchain  
  • Le Smart contract Engineer  
  • L’Architecte blockchain  
  • L’Auditeur de sécurité Web3  
  • Le Chef de projet blockchain  
  • Le Juriste ou l’Avocat spécialisé en crypto actifs  
  • L’Analyste on-chain.

La programmation blockchain est-elle difficile ?

La programmation blockchain peut sembler difficile au départ, car elle nécessite de comprendre la cryptographie, les systèmes décentralisés et des langages spécifiques comme Solidity ou Rust. Elle demande aussi une grande rigueur et une bonne maîtrise de la cybersécurité, car une erreur dans un smart contract peut être irréversible.

Cependant, avec de bonnes bases en programmation et un apprentissage appliqué, elle devient accessible.

Pourquoi se former au métier d’Ingénieur en IA ?

Alors que l’intelligence artificielle s’invite de plus en plus dans nos sociétés, la maîtriser devient un atout majeur pour accéder aux métiers de demain. En vous formant au poste d’Ingénieur en IA, vous accéderez ainsi à un domaine à fort impact, avec de nombreuses opportunités professionnelles à la clé, et des défis technologiques stimulants au quotidien.

Et si ce métier vous intéresse, sachez que nous vous proposons des formations pour vous y préparer !

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Julien Fournari
Julien Fournari
SEO & Growth Manager
Julien occupe le poste de SEO & Growth Manager chez Jedha depuis Mexico. Sa mission est de créer et d'orchestrer du contenu pour la communauté Jedha, de simplifier les processus et de dénicher de nouvelles opportunités, tant pour Jedha que pour ses étudiants, en exploitant sa maîtrise du digital.

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