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Délégué à la protection des données : un métier stratégique né du RGPD

Julien Fournari
Par 
Julien Fournari
SEO & Growth Manager
Dernière mise à jour le 
23/9/2025
Délégué à la protection des données : un métier stratégique né du RGPD

Qu’est-ce qu’un Data Protection Officer (DPO) ?

Le Data Protection Officer (DPO), ou Délégué à la protection des données en français, est la personne chargée de veiller à ce que votre entreprise respecte les règles imposées par le RGPD. Son job ? S’assurer que les données personnelles qui passent entre vos mains soient collectées, stockées ou analysées dans le respect des règles définies par ce règlement européen.

Chose importante à savoir : le DPO ne décide pas à votre place. Il observe vos pratiques, vous alerte sur les risques, vous conseille sur la meilleure voie à suivre, mais la décision finale vous appartient.

Cela dit, ignorer ses recommandations est généralement une mauvaise idée, surtout dans un contexte où la protection des données devient un enjeu de confiance et de réputation vis-à-vis de vos clients et partenaires commerciaux.

Quand est apparu le métier Délégué à la protection des données ?

Le métier de Délégué à la protection des données est l’un des métiers de la Data les plus récents, puisqu’il est né avec l’entrée en application du RGPD, le 25 mai 2018.

Avant cela, en France, c’était le Correspondant Informatique et Libertés (CIL) qui s’occupait de tout ce qui relevait de la protection des données. Mais ce rôle était facultatif, propre à la France, et surtout peu connu en dehors des cercles juridiques.

Tout a changé avec le RGPD, qui est venu harmoniser les règles relatives au traitement des données personnelles dans tous les États membres de l’Union européenne. Et avec lui est né un rôle clé : le Délégué à la protection des données (DPO).

Institué par les articles 37 à 39 du règlement général sur la protection des données, le DPO joue un rôle majeur dans la mise en conformité des organisations. Contrairement au CIL, ses missions sont identiques dans toute l’UE, et sa désignation est obligatoire dans plusieurs cas. Mais surtout, son rôle est désormais clairement défini, et il bénéficie d’une reconnaissance officielle et d’une responsabilité bien plus grande.

Quelle est la place du DPO dans une entreprise ?

Le DPO n’est pas là pour surveiller ou punir, mais pour guider et protéger son organisation. Pour ce faire, il est important qu’il soit :

  • Libre de toute influence ou de conflits d’intérêt : il doit pouvoir agir sans craindre de sanctions liées aux implications de son rôle, de ses recommandations ou de ses avis ; et s’il occupe d’autres fonctions dans l’organisation, celles-ci ne doivent pas entrer en conflit avec sa mission de DPO.  
  • Indépendant : en aucun cas le DPO ne peut recevoir de directives qui orienteraient ses missions de délégué.  
  • Rattaché directement à la direction : même s’il n’a pas de rôle décisionnel, il doit pouvoir rendre des comptes au plus haut niveau de son organisation.

Pour imager, voyez-le comme une sorte de contrôleur aérien : il ne pilote aucun avion, mais sans lui, vous risquez de vous crasher. En bref, il ne décide pas à votre place, mais doit être écouté et ses alertes prises au sérieux. Pourquoi ? Parce qu’en cas de manquement grave, la CNIL ne vous demandera pas si vous aviez un DPO, mais pourquoi vous ne l’avez pas écouté.

Le DPO est-il obligatoire en entreprise ?

Le RGPD impose la désignation d’un DPO est obligatoire dans trois types d’organisations :

  • Les organismes publics et les autorités  
  • Les organisations qui réalisent un suivi régulier et systématique des individus à grande échelle (les opérateurs téléphoniques, les banques, les assurances…)  
  • Les organisations qui traitent des données sensibles (informations de santé, opinions politiques, orientation sexuelle ou religieuse…)

Dans les autres cas, la désignation d’un Délégué à la protection des données n’est pas obligatoire, mais vivement conseillée. Pourquoi ? Parce qu’avoir un DPO vous aidera à prouver votre bonne foi en cas de contrôle, à limiter les risques juridiques, mais surtout à montrer à vos clients que vous prenez la protection de leurs données très au sérieux.

CNIL, RGPD, DPO : qui fait quoi dans la protection des données ?

Si les acronymes « CNIL », « RGPD » et « DPO » sont étroitement liés, ils désignent tous des choses différentes :

  • Voyez le RGPD comme la règle du jeu. Ce règlement européen définit ce que vous pouvez faire avec les données personnelles, et surtout ce que vous ne pouvez pas faire.  
  • La CNIL, c’est l’arbitre qui veille au respect du RGPD en France. Pour cela, elle mène des contrôles, sanctionne si nécessaire, et peut même vous accompagner dans votre mise en conformité.  
  • Le DPO, c’est l’entraîneur de votre entreprise. Il vous forme, vous alerte, vous conseille et fait le lien avec le CNIL si besoin. Mais comme dans tout sport, l’entraîneur vous donne les consignes, puis c’est votre équipe qui joue. En cas de problème, la responsabilité finale est donc la vôtre.

Data Protection Officer est-il un métier qui recrute ?

Depuis l’entrée en vigueur du RGPD, le nombre de Délégués à la protection des données (DPO) n’a cessé d’augmenter, et la tendance ne faiblit pas. Rien qu’en septembre 2025, la plateforme Indeed recense ainsi pas moins de 200 offres d’emploi pour le métier de Data Protection Officer.

Mais prenons quelques chiffres. En 2024, plus de 36 000 DPO étaient officiellement en poste, contre seulement 21 000 en 2018. Et cela ne reflète même pas le nombre total d'organisations concernées, puisque les DPO peuvent intervenir dans plusieurs structures en même temps. En réalité, ce sont ainsi plus de 103 000 entités qui ont désigné un DPO depuis l’entrée en vigueur du RGPD.

Loin d’être un métier de niche, il s’agit donc d’une fonction stratégique qui s’impose peu à peu dans tous les secteurs et tous les types d’entreprises, même dans celles qui ne sont pas concernées par l’obligation de désignation. Et les exigences en matière de conformité ne cessant d’évoluer, ce métier est promis à un bel avenir.

Quel est le rôle d’un Data Protection Officer ?

Le Data Protection Officer (DPO) est donc le garant du respect du RGPD dans son organisation. Il s’assure que tout traitement de données personnelles respecte les règles, et pour cela, ses missions sont variées :

  • Il informe et conseille les responsables de traitement et les collaborateurs quant à leurs obligations RGPD.  
  • Il contrôle la conformité des traitements effectués sur les données (collecte, stockage, durée de conservation, mesures de sécurité…) aux exigences du RGPD.  
  • Il tient ou supervise la tenue du registre des activités de traitement.  
  • Il réalise ou accompagne les analyses d’impact (AIPD) en cas de traitements à risques.  
  • Il fait le lien avec la CNIL, notamment en cas de violation de données.  
  • Il répond aux demandes des personnes concernées, notamment en ce qui concerne le droit d’accès, de suppression ou de rectification des données.  
  • Il sensibilise les équipes et travaille à la mise en place d’une culture de la protection des données en interne.

En bref, le Data Protection Officer agit comme un conseiller stratégique et un référent RGPD. Il ne remplace ni le DSI, ni les juristes, ni le responsable cybersécurité, mais il travaille main dans la main avec eux pour s’assurer que les données sont utilisées de façon responsable et dans le respect de la loi.

Prenons l’exemple d’un site de vente en ligne pour que vous compreniez bien l’importance du DPO. En ce qui concerne ce site, son rôle sera de :

  • Vérifier que les données clients (informations de paiement, adresses, historique d’achat…) sont convenablement sécurisées.  
  • Contrôler que la politique de cookies est claire, à jour et respectée.  
  • S’assurer que les utilisateurs peuvent facilement supprimer leur compte ou exercer leurs droits en ce qui concerne la gestion de leurs données personnelles.

Ces éléments n’auront pas un impact direct sur la performance commerciale (bien qu’ils puissent rassurer les utilisateurs, et donc les convaincre de finaliser leurs achats), mais ils vous éviteront surtout de recevoir une amende pour non-respect de vos obligations en matière de protection des données personnelles.

Quelles compétences pour devenir DPO ?

Véritable couteau suisse du RGPD, pour qu’il mène à bien ses missions le DPO doit disposer de compétences :

  • Juridiques : il maîtrise le RGPD, la loi Informatique et Libertés et les réglementations spécifiques à chaque secteur. Mais plus que cela, il doit également être capable de traduire ces textes en obligations concrètes et compréhensibles par tous.  
  • En informatique et en cybersécurité : s’il n’a pas besoin d’être développeur, il doit comprendre comment fonctionnent les systèmes d’information, où se situent les risques techniques et quelles mesures de sécurité doivent être mises en place pour protéger les données.  
  • En Data et en gouvernance des données : il doit savoir cartographier les traitements effectués, vérifier la qualité des données et définir des règles de conservation, d’accès et de partage. Il doit également être capable d’évaluer les impacts d’un traitement sur les droits des personnes.  
  • En organisation et en gestion de projet : il structure les processus, tient les registres, documente les analyses d’impact et suit les audits de conformité.  
  • En communication et en pédagogie : véritable traducteur entre le jargon légal et la réalité du terrain, un bon DPO doit être capable d’expliquer le RGPD sans faire fuir son audience.  
  • En éthique et en diplomatie : souvent au cœur de tensions (entre marketing et conformité, entre IT et juridique, entre rapidité business et protection des droits…), le DPO doit savoir trouver le bon équilibre entre les besoins stratégiques et les obligations réglementaires, le tout en faisant preuve d’intégrité et de tact.

Y’a-t-il des tests ou certifications obligatoires pour devenir Délégué à la protection des données

Non, aucune certification n’est obligatoire pour exercer en tant que DPO. Ce qui compte, c’est que le Délégué à la protection des données dispose des compétences requises, et qu’il soit en mesure de les prouver si la CNIL le lui demande. C’est d’ailleurs pour cela que les DPO en poste ont des profils très variés. D’après une étude de la CNIL menée en 2020, 28 % viennent du secteur informatique, 28 % du juridique, et les autres peuvent aussi bien être issus des secteurs de la finance, de la conformité, de l’audit ou encore de l’administratif.

Cela dit, de plus en plus d’organisations sont à la recherche de profils certifiés, car cela leur permet de s’assurer que leur DPO dispose des compétences requises, et ainsi d’éviter les mauvaises surprises en cas de contrôle.

Quelles sont les certifications recommandées pour exercer en tant que DPO ?

Plusieurs certifications reconnues vous permettront de valoriser votre expertise de DPO et donc de rassurer les recruteurs. Parmi elles, vous trouverez :

  • La certification DPO de la CNIL : reconnue en France, elle atteste que vous maîtrisez le RGPD, la gestion des risques et la gouvernance des données.  
  • Le titre Certified Information Privacy Professional/Europe (CIPP/E) : proposé par l’IAPP (International Association of Privacy Professionals), ce titre international est très valorisé par les groupes multinationaux.  
  • Le titre RNCP de Délégué à la protection des données (DPO) : certaines formations vous préparent à l’obtention de ce titre professionnel reconnu par l’État.  
  • Le certificat DPO du CNAM.

Quelles études pour exercer le métier de Data Protection Officer ?

Comme il n’existe pas un parcours unique pour devenir DPO, plusieurs types d’études vous permettront d’accéder à ce métier. Vous pourrez ainsi aussi bien vous former dans une école spécialisée en Data qu’à l’université.

Les écoles spécialisées en Data

Certaines écoles de la Data vous proposent des cursus qui vous prépareront au métier de DPO. En nous rejoignant chez Jedha AI School par exemple, vous pourrez bénéficier d’une formation professionnalisante, dispensée par des experts en activité qui sauront vous préparer aux réalités du terrain. Notre objectif ? Faire de vous un professionnel prêt à entrer en poste dès l’obtention de votre diplôme.

Pour vous préparer au métier de Délégué à la protection des données, nous vous proposons ainsi un parcours en 5 ans, accessible hors Parcoursup :

Ce programme vous permettra de maîtriser les enjeux techniques et stratégiques liés à la gestion des données, notamment dans les projets d’intelligence artificielle, tout en abordant les notions de conformité, de sécurité et d’éthique, essentielles au métier de DPO. Surtout, vous serez sensibilisé aux impacts de l’IA sur la protection des données, un sujet incontournable pour les DPO de demain.

Autre possibilité : vous pouvez également opter pour notre Bachelor Data Analyst puis notre Mastère Data Scientist. Cela vous permettra de développer une véritable expertise en Data, qu’il vous suffira de compléter avec une formation et une certification dédiées pour devenir DPO.

Les formations universitaires : licences, masters, DU

Vous pourrez également accéder au métier de DPO en passant par la fac. La première étape consistera alors à obtenir un diplôme de niveau bac+3, et plusieurs options s’offrent à vous :

  • Licence de droit, voie classique pour accéder aux masters juridiques.  
  • Licence ou BUT informatique, qui vous permettra d’adopter une approche plus technique.  
  • Licence AES (Administration Économique et Sociale), idéal si vous cherchez une formation transversale.  
  • Licence professionnelle Sécurité des Réseaux et des Systèmes Informatiques, proposée dans quelques universités, qui vous permettra d’acquérir une double compétence informatique et juridique.

Vous devrez ensuite poursuivre en master, et là encore, vous aurez plusieurs options :

  • Master Droit du numérique  
  • Diplôme universitaire de Délégué à la protection des données  
  • Master en Data ou en cybersécurité, ensuite complété d’une formation et d’une certification dédiée au RGPD

Des cursus qui sont donc très orientés droit, surtout en master, et qu’il sera bien de compléter de périodes de mise en pratique lors de stages, d’alternance ou de formations dédiées.

Comment réussir sa reconversion en DPO ?

Vous voulez donner un nouveau souffle à votre carrière et cherchez à devenir DPO ? Sachez qu’en suivant les bonnes formations, vous pourrez vous reconvertir pour exercer ce métier ! Pour ce faire :

  1. Commencez par faire le point sur vos compétences actuelles. Vous venez du secteur juridique ? Alors vous devrez monter en compétences sur les sujets qui touchent aux systèmes d’information et à la sécurité des données. Vous avez un profil plus orienté Data ou tech ? Alors vous devrez renforcer votre maîtrise du RGPD. Vous exercez un poste plus transversal (dans la finance, la gestion de projet ou les RH) ? Alors vous disposez déjà de soft skills nécessaires à la fonction de DPO, que vous devrez compléter d’une double expertise juridique et technique.  
  2. Choisissez ensuite la formation professionnalisante la plus adaptée à votre profil. Chez Jedha par exemple, nous vous proposons un cursus complet pour devenir Data Manager. Commencez ainsi par notre formation en Data pour débutants (75 heures), rejoignez ensuite notre Bootcamp Data Analyst (450 heures), et complétez-le par notre Bootcamp Data Manager (112 heures). En seulement quelques mois, vous pourrez ainsi acquérir toutes les compétences nécessaires au métier de DPO, peu importe votre point de départ.  
  3. Validez vos nouvelles compétences en obtenant des certifications reconnues, comme la certification DPO de la CNIL, ou encore le titre CIPP/E de l’IAPP. Et chez Jedha justement, nos bootcamps vous aident à les préparer, puisqu’ils vous initient aux bonnes pratiques de la Data Governance.

Vous voulez en savoir plus sur nos formations ? Alors consultez notre syllabus et venez nous poser toutes vos questions lors de notre prochaine Soirée Portes Ouvertes en ligne !

Quel est le salaire moyen d’un Data Protection Officer ?

En plus d’exercer un métier porteur de sens, le Data Protection Officer bénéficie également d’une rémunération attractive. Selon Glassdoor, en France un DPO peut ainsi espérer toucher une rémunération comprise en moyenne entre 40 000 et 62 000 brut par an. Mais ce salaire dépendra énormément de votre expérience :

  • En début de carrière, le DPO gagne entre 35 000 et 50 000 € brut par an.  
  • Après 3 ans, il peut espérer toucher entre 41 000 et 75 000 € par an.  
  • La rémunération des experts peut monter en flèche, et être comprise entre 67 000 et 131 000 € brut par an.

Comment devenir DPO ?

Vous l’aurez compris, le métier de Data Protection Officer (DPO) est un poste stratégique qui allie juridique, technique, gouvernance et éthique. Et dans un monde où les données personnelles sont au cœur de nombreuses activités économiques, ce délégué devient vite incontournable et peut toucher une rémunération intéressante, en moyenne comprise entre 40 000 et 62 000 € par an en France.

Le métier de Délégué à la protection des données vous intéresse ? Alors vous devrez vous former. Et que vous cherchiez une formation post-bac ou pour vous reconvertir, la meilleure solution pour devenir DPO est certainement de rejoindre une école de la Data comme Jedha. Vous bénéficierez alors d’une formation professionnalisante, et serez encadré par des experts du secteur, qui sauront vous préparer efficacement à l’exercice de ce métier exigeant.

Questions fréquentes à propos du métier de Délégué à la protection des données

Dans quel type d’organisations un Délégué à la protection des données peut-il exercer ?

Un DPO peut exercer dans tout type de structure, et si le RGPD le rend même obligatoire dans certains cas (organismes publics, organisations qui traitent des données sensibles, organisations qui effectuent un suivi régulier et systématique des individus à grande échelle), dans les faits, toutes les entreprises peuvent désigner un Délégué à la protection des données personnelles.

Le DPO peut-il être tenu responsable en cas de manquement ?

Le DPO ne jouant qu’un rôle de conseiller et non de décideur au sein de son organisation, il ne peut être tenu responsable en cas de non-respect des exigences du RGPD dans son organisation (cette responsabilité incombe en fait au Responsable du traitement des données personnelles).

Une exception néanmoins : le DPO peut être tenu pénalement responsable en cas de violation intentionnelle de sa part d’une disposition pénale de la loi Informatique et Libertés ou du RGPD.

Qu’est-ce que la plateforme e-DPO ?

La plateforme e‑DPO est un outil de protection des œuvres artistiques (textes, illustrations, créations) proposé par la SACD. e-dpo.com. Contrairement à ce que son nom peut laisser penser, elle n’a donc rien à voir avec le métier de Data Protection Officer.

Quelle est la différence entre un Data Manager et un DPO ?

  • Le Data Manager gère l’ensemble des données d’une organisation pour en optimiser l’usage, la qualité et la gouvernance.  
  • Le DPO veille au respect du RGPD et s’assure que les traitements de données sont conformes à la réglementation européenne.

Les deux rôles sont donc complémentaires, mais ont des finalités différentes.

Quelles sont les évolutions de carrière possibles pour un Data Protection Officer ?

Un DPO peut évoluer vers des postes de :

  • Chief Privacy Officer  
  • Responsable conformité  
  • Consultant RGPD  
  • Responsable de la gouvernance des données
Formations DataFormations Data
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Julien Fournari
Julien Fournari
SEO & Growth Manager
Julien occupe le poste de SEO & Growth Manager chez Jedha depuis Mexico. Sa mission est de créer et d'orchestrer du contenu pour la communauté Jedha, de simplifier les processus et de dénicher de nouvelles opportunités, tant pour Jedha que pour ses étudiants, en exploitant sa maîtrise du digital.

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